education nationale

Publié le 12 Juin 2025

Bonjour les amis,

Je suis, comme vous tous, extrêmement choqué par l'assassinat à coups de couteau d'une surveillante de collège de 31 ans au collège de Nogent.

Alors, dans ces cas-là, on essaie de comprendre et de savoir quelle a été la chaîne d'événements qui a conduit au drame.

Donc, d'après les premiers éléments de l'enquête, on apprend que finalement il était quasiment impossible de prévenir un tel crime. Il n'existait aucun signal annonciateur qui aurait pu faire passer toutes les alertes sociales au rouge vif.

Selon le magistrat, l'élève « ne manifeste aucun signe évoquant un possible trouble mental ». D’ailleurs, ni sa famille, ni le personnel éducatif n’avaient eu des inquiétudes le concernant. L’adolescent avait fait l’objet de deux exclusions « en début d’année scolaire », soit à l’automne 2024, l’une pour avoir asséné des « coups de poing à un camarade de classe », et une autre pour avoir « frappé un élève de sixième ». Il avait été exclu à deux reprises pour ces faits, mais n’avait plus jamais fait parler de lui. Au travers des différents témoignages, il est décrit comme « sociable, plutôt bon élève, intégré à la vie de son établissement », indique le procureur.

Ce premier compte-rendu présente certaines incohérences car l'élève nous est présenté comme étant "normal" sauf qu'il a été exclu deux fois pour agressions physiques.😨

Mais peut-être que les agressions entrent dans notre nouvelle normalité ?!...🤔🙄

Quelques jours avant l'assassinat l'élève avait été « sermonné » par une surveillante parce qu’il « embrassait sa petite amie ».

Après ça, « il a ressassé le projet de tuer une surveillante, n’importe laquelle »...

Donc pour comprendre cet horrible meurtre éxécuté de sang-froid je dois mettre dans la même équation le fait que l'élève avait une vie sociale plutôt normale, qu'il avait aussi une petite amie mais, qu'en même temps, et selon le procureur, il était en « perte de repères quant à la valeur de la vie humaine, à laquelle il n’attache pas une importance particulière ».

Ah bon ? Il n'est pas malade mais n'est pas capable non plus de faire la différence entre la vraie vie et les jeux vidéos ultra-violents qu'il affectionne ?

Donc il m'est impossible de ne pas penser que si cet élève ne présente pas de troubles psychiatriques c'est donc que notre société occidentale est devenue complètement malade, au point que ses enfants ne sont même plus capables de respecter le plus fondamental et le plus sacré de tous les droits, à savoir le droit à la vie.

Je vais faire un petit passage du coq à l'âne mais j'ai un bon ami qui est revenu cette semaine de son premier voyage au Japon et il me racontait qu'il avait été frappé par le civisme des gens et par leur respect des normes sociales. Il me disait notamment qu'il avait vu passer des groupes scolaires et que l'autorité des profs signifie encore quelque chose au pays du Soleil Levant. Les enseignants n'ont pas à lever la voix pour que leurs élèves se conforment à leurs injonctions. Il ne viendrait même pas à l'esprit de ces écoliers d'enfreindre les normes comportementales du groupe.

Et ce respect des normes et de l'autorité c'est exactement ce que nous avons perdu en Occident. Mon ami me disait : " Si on était capables de nous japoniser ne serait-ce que de 1% ça nous ferait pas de mal".

Pas la peine de nous "japoniser" car ces valeurs dont il parle nous les possédions et elles étaient aussi les nôtres.

Je suis sur facebook un groupe d'enseignants français et je suis effaré par le nombre d'agressions quotidiennes dont ils sont victimes. Quand un élève est expulsé par exemple pour menaces de mort il se trouve fréquemment un juge pour obliger l'établissement à le réintégrer.

Le poisson pourrit par la tête disait Mao qui reprenait un vieux proverbe chinois.

Les conséquences de ce laxisme institutionnel sont accablantes.

Le nombre de démissions dans l'Education Nationales a été multilplié par 7 entre 2008 et 2021 !

Une Education Nationale par ailleurs devenue incapable d'instruire (c'est sa mission première), et encore moins d'éduquer (mission qu'elle partage avec les familles et le reste de la société).

J'ai la faiblesse de penser que le problème dont je parle est surtout occidental et lié à notre décadence civilisationnelle. Je n'imagine pas que de telles horreurs comme comme ce poignardage à Nogent se produisent au Japon, en Corée du Sud ou du Nord, en Russie, à Cuba, dans de nombreux pays du Maghreb et d'Afrique noire, dans des pays d'Europe de l'Est, etc...

Ces pays-là n'ont pas besoin de 50 caméras ni de détecteurs d'armes dans leurs écoles.

En 2015 j'avais écrit un article sur l'assassinat d'un prof à l'arbalète qui s'était produit en Espagne. Le gamin avait 13 ans...

A-t-on avancé en Europe depuis? Bien évidemment que non...ou plutôt si, mais dans le mauvais sens...

Je suis très pessimiste car rien n'a été entrepris, au delà des grands effets d'annonce des responsables politiques, pour remédier à la dérive que je dénonce.

Quand l'autorité se délite c'est souvent irrécupérable et, dans le meilleur des cas il faut beaucoup de temps, de volonté, de constance et de suivi pour la rétablir...

Mais en plus il faut du consensus social or, si tout le monde s'accorde à pleurer amèrement la mort de cette surveillante, beaucoup de parents s'insurgent dès que leur "pov chéri" est soumis à la moindre sanction disciplinaire, aussi minime soit-elle.

La classe politique elle-même ne montre pas l'exemple car elle ne respecte pas ses propres normes institutionnelles. Dans les débats publics entre leaders c'est souvent un langage de haine, de non-respect de l'autre que j'entends et aussi des appels à la confrontation civile qui sapent efficacement la qualité du "vivre-ensemble". Toute cette haine se transmet à l'ensemble du corps social.

Si les adultes peuvent insulter publiquement et impunément un président, un député, l'ensemble de la police ou de la gendarmerie, des professionnels de médecine, alors un petit prof ou un pion ne pèsent pas bien lourd dans l'esprit d'un collégien.

Finalement le meurtre de Nogent nous tend un triste miroir de notre société qu'on se refuse de voir.

PS: A peine après avoir terminé la rédaction de cet article je prends connaissance sur la page facebook du groupe enseignant que j'ai cité ci-dessus d'un fait divers habituel, quotidien, qui date d'hier, et qui illustre le rôle négatif de certains parents qui saisissent la justice à la moindre sanction disciplinaire. Faut pas traumatiser le "povchéri"...ni compromettre son avenir...😤

PS nº 2 : J'aborde dans mon article le laxisme des juges qui ne se limite pas bien évidemment aux seuls délits commis à l'école, comme par exemple ces peines de 500 euros et 6 mois de prison avec sursis pour ceux qui ont commis de très violents incidents criminels à Paris contre la police lors de la finale de foot PSG-Inter de Milan.

A noter à ce propos que le philosophe Michel Onfray se pose la question de savoir s'il ne faudrait pas que les juges rendent compte de leur action devant le peuple et soient élus comme aux Etats-Unis.

Voir les commentaires

Repost0

Publié le 3 Septembre 2024

Bonjour les amis,

Je suis en pleine lecture d'un livre-enquête d'Esther Pivet sur la Théorie du genre et notamment sur son impact dangereux et  négatif à l'école.

Parents, apprenez à protéger vos enfants de la théorie du genre

Résumé de l'éditeur :
« La théorie du genre n'existe pas », proclamait la ministre de l'Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem. Et pourtant, cela fait presque dix ans que la porte de l'école s'est ouverte à cette idéologie prônant la déconstruction des « stéréotypes sexués », qui nous seraient imposés par la culture et l'éducation... Autrement dit, on ne naîtrait pas fille ou garçon, on nous imposerait de le devenir.
Sous couvert de légitimes combats pour l'égalité des sexes et contre l'homophobie, cette entreprise de déconstruction vient toucher les plus jeunes sans que leurs parents en soient informés et puissent réagir. Et ce n'est pas fini… Programmes, manuels, livres, spectacles, éducation à la sexualité, interventions d'associations militantes, mais aussi lobbying dans les entreprises et la culture, politiques publiques, tous les moyens d'action employés par les tenants du genre sont passés au crible.
Ce livre veut être un cri d'alarme, preuves à l'appui, au sujet de cette confusion qui se répand, et qui peut faire des ravages chez les enfants et les jeunes.

Face à l'abdication des institutions, et notamment de l'institution scolaire, le livre d'Esther Pivet est un cri d'alarme et un appel poignant dirigé vers les parents d'élèves qui sont devenus le dernier rempart capable de protéger leurs progénitures d'endoctrinements dangereux, frivoles et irresponsables.

Les parents ont leur mot à dire et sont en droit d'exiger de la part des autorités scolaires des explications sur certains contenus donnés à leurs enfants.

Je vous invite à écouter Esther Pivet sur cette vidéo très instructive dans laquelle elle explique comment cette idéologie s'impose dans toutes les matières à la fois de manière très explicite mais aussi sournoise...

https://www.youtube.com/watch?v=isblW6XeSkk

J'aimerais ajouter un certain nombre de commentaires.

La plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu'il n'existe pas !

L'ex-ministre socialiste de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem qui est celle qui a ouvert en grand les portes de l'école à la théorie du genre (et à tout le jargon non-scientifique qui l'accompagne) a affirmé "La théorie du genre ça n'existe pas ! "

Les adeptes de la théorie du genre prétendent que cette théorie n'existe pas, ils préfèrent parler de GENDER STUDIES pour essayer de se donner un faux vernis scientifique....c'est vraiment prendre les gens pour des imbéciles. La théorie existe bien...et sa papesse se nomme Judith Butler.

L'article mis en lien ci-dessous est assez explicite sur ce point.

Mais revenons à l'école qui est le lieu où, théoriquement, les enfants apprennent à avoir de solides repères pour les guider dans la vie.

J'ai parlé de Belkacem mais certains syndicats de gauche ne sont pas en reste dans la dérive qui est dénoncée dans le livre de Pivet.

Voici ce que le syndicat scolaire majoritaire SNUpp-FSU affirme dans un de ses dossiers. Extrait:

"Les Genders studies nous enseignent aussi que l'hétérosexualité, loin de découler du sexe biologique ou de l'identité sexuée, n'est pas la forme " naturelle" de la sexualité, mais sa forme dominante, au sens où le système social la reproduit, la légitime, et stigmatise et infériorise celles et ceux qui s'en écartent".

Faut-il rappeller que la seule solution naturelle qui permette la reproduction de notre espèce est la solution hétéro et que, par conséquent, il peut y avoir un lien évident dans notre " câblage génétique" qui nous pousse majoritairement à être attirés par des personnes du sexe opposé?

Donc il faudrait croire d'après ce syndicat majoritaire chez les enseignants que la nature n'a ABSOLUMENT RIEN A VOIR dans le fait que les gens sont très majoritairement hétéro. Il n'y aurait rien dans notre codage génétique qui fasse que notre sexe nous prédispose à avoir une préférence ou une attirance pour le sexe opposé.

Vous y croyez, vous ?

Moi, pas une seule seconde, mais c'est pourtant ça qu'on enseigne à nos enfants.

Et quand je dis qu'on leur enseigne ça, je veux dire qu'on ne leur présente pas ça comme une théorie mais comme une vérité aussi intangible que 2 et 2 font 4.

PS: Il n'y a bien évidemment aucune homophobie dans mes propos.

Si j'affirme qu'il y a chez les humains plus de droitiers que de gauchers cela n'implique en rien une discrimination envers les gauchers. Par ailleurs si j'inventais une théorie fumeuse selon laquelle la prédominance des droitiers sur les gauchers serait due à la société ce serait ni plus ni moins qu'un mensonge scientifique, une imposture !

Si j'affirmais, comme le font les tenants de la Queer theory que les hommes sont plus grands que les femmes à cause de la société ce serait de nouveau une imposture ridicule et absurde...Pourtant c'est une thèse développée dans le DVD Pourquoi les femmes sont-elles plus petites que les hommes? qui est conseillé aux professeurs sur le site Canopé de L'Education nationale pour les SVT.

 

 

Voir les commentaires

Repost0

Publié le 16 Avril 2024

Bonjour les amis,

Bien qu'étant prof à la retraite depuis plus de 3 ans maintenant je continue de me passionner pour tout ce qui touche à l'éducation et à la formation de la citoyenneté.

Ce matin un bon ami m'a envoyé un post écrit sur facebook par Myriam Boutillier, une enseignante.

Je vous livre à mon tour ci-dessous ce post en forme de témoignage, accompagné de l'adresse de la page facebook de Madame Boutillier.

Naufrage irréfutable de l'Education nationale.
Récemment, j'ai découvert qu'un professeur d'anglais certifié, bac+5, 32 ans, ne parlait pas anglais... je vous jure que c'est la stricte vérité : devant moi, il a été incapable de réserver dans une auberge de jeunesse par téléphone, pour un séjour scolaire à Londres pour 55 élèves. Ça m'a sciée sur place. J'ai dû prendre le relais.
Il y a quelques mois, un Inspecteur de mathématiques m'a confié que sur les 10 dernières inspections qu'il a menées dans son secteur, il avait constaté 6 cas d' incompétence avérée.
Je suis allée fouiller sur le site de la fac de Nanterre (celle où j'ai fait mes études) pour découvrir que les mémoires de 100 pages des bac+5, ça n'existaient plus...
Pour obtenir un master 1, il n'y a plus à rédiger un mémoire de 80 à 100 pages, comme pour jadis, une maîtrise. Avec soutenance devant un jury, s'il vous plaît.
Et le master 2 ? Ce n'est plus l'embryon de la thèse de 3ème cycle, exigeant la rédaction puis la soutenance d'un mémoire également entre 80 et 100 pages. Rien à voir avec le DEA d'antan donc.
Je comprends beaucoup mieux pourquoi nos bac+5 universitaires depuis une dizaine d'années, sont médiocres en général. Il y a çà et là des exceptions bien sûr, mais justement, ce sont des exceptions.
La plupart ne savent même pas rédiger une page sans faute d'orthographe, de grammaire, de conjugaison ou de syntaxe ! Je me suis souvent demandé comment ils avaient fait, pour pondre deux fois 100 pages, avec un tel niveau rédactionnel. C'est simple : ils n'ont pas eu à le faire ! CQFD !
Et vous savez quoi, en plus ? Dès l'année prochaine, il suffira d'une licence, pour passer un concours de l'Education nationale, c'est officiel. Il va sans dire que la licence d'aujourd'hui n'ayant strictement rien à voir avec la licence d'il y a 30 ans, vous allez avoir de plus en plus de mal à trouver des professeurs de haut niveau qui auront moins de 50 ans !
On va droit dans le mur. C'est inévitable.
( Précision : je ne suis pas HPI, je parle anglais car j'ai un vieux DEA et un CAPES préhistorique d'anglais, faut pas déconner ).

https://www.facebook.com/marie.boutillier76

Alors ce témoignage commence à la manière d'un sketch à la Coluche: " C'est l'histoire d'un prof d'anglais qui ne savait pas parler anglais !..."...Le gars qui n'est pas foutu de boucler une réservation pour ses élèves à Londres. No comment !

Mais j'apprends au passage que les étudiants qui font un Master n'ont même pas besoin de faire appel aux IA pour rédiger leur mémoire puisque ces mémoires ont tout simplement disparu.

Bin voilà. Tout est bien plus simple comme ça. Il suffisait d'y penser !

Quant aux nouvelles mesures gouvernementales qui permettront aux candidats de passer les concours de recrutement munis d'une simple licence (une licence qui n'a plus rien à voir avec celle que j'ai connue), elles enfoncent encore un peu plus le clou.

Effectivement, comme le dit Montillier, tout indique qu'on va droit dans le mur...avec le satisfecit de la présidence de la République et de Matignon.

La messe est dite !

 

Voir les commentaires

Repost0

Publié le 26 Juin 2023

Bonjour les amis,

Aujourd'hui j'aimerais partager avec vous une interview d'Eve Vaguerlant qui vient de publier un livre intitulé "Un professeur ne devrait pas dire ça".

C'est une entrevue assez édifiante sur son quotidien d'enseignante qui est semblable à celui de milliers d'autres de ses collègues. Ça dure 28 minutes et le meilleur est sur la fin.

 

 

40 ans qu'on délaisse ce qui marchait plutôt bien au nom d'un progressisme idéologique dogmatique complètement coupé de la réalité. Les résultats de l'école sont affligeants (ça ne fait même plus débat maintenant car c'est mesuré, quantifié)...Peu importe ! Toute la faute serait due au " manque de moyens", un manque de moyens qui a bon dos...Pas d'autocritique chez les néo-pédagogues comme Philippe Meirieu qui ont mené l'Education nationale droit dans le mur...Les nouveaux profs continuent d'être formatés pour gérer un système qui produit de l'échec. Pas de remise en cause profonde de la part des syndicats. La gauche s'enferme dans un blocage idéologique...Et c'est bien là le problème.

Cette école est l'école de l'égalité mal comprise par les idéologues de gauche. L'égalité, cette devise républicaine, est un point de départ et non pas un point d'arrivée. Tout le monde doit avoir accès aux mêmes savoirs sachant que tout un chacun en profitera différemment.

Si tout le monde arrive au même point final et que le baccalauréat par exemple se convertit en une forme de droit non-écrit mais bien réel on aboutit à l'instauration médiocratie (ou idiocratie) au lieu d'une méritocratie.

Mais la morale qui s'est imposée dans les centres de formation  des enseignants empêche que de telles idées puissent être ni même exprimées. Les profs s'autocensurent car si ceux qui pensent comme Vaguerlant le disaient ouvertement ils se feraient immédiatement taxer d'être des traîtres à la cause ou des incompétents.

Leur hiérarchie très culpabilisatrice leur dirait que c'est de leur faute (même s'ils sont des milliers à être dans le même cas et à se débrouiller comme ils peuvent). Vaguerlant explique très bien comment la hiérarchie sape l'autorité des profs en ramenant, par exemple, en classe un élève préalablement expulsé.

L'élève perturbateur est dans son "droit", un droit qui ne lui échappe pas et dont il sait faire usage au détriment des élèves venus en classe pour étudier.

J'ai souvent l'habitude de fustiger dans mes billets l'idéologie wokiste qui agit comme une inquisition qui interdit toute remise en cause de sa doctrine et toute liberté d'expression.

Ce que nous dit Vaguerlant c'est que malheureusement il en va de même au sein de l'Education Nationale où certains dogmes neópédagogistes plus que discutables ne peuvent être remis en cause.

Elle pointe du doigt les syndicats qui n'ont jamais eu le courage d'aller jusqu'au bout de leurs critiques et qui résument tout à de simples moyens économiques.

Tout est dit.

L'école a été victime de trahison, de lâcheté et de complicités coupables...et rien ne semble pouvoir changer la donne. C'est l'Omertá !

 

Voir les commentaires

Repost0