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3 septembre 2024 2 03 /09 /septembre /2024 10:04

Bonjour les amis,

Je suis en pleine lecture d'un livre-enquête d'Esther Pivet sur la Théorie du genre et notamment sur son impact dangereux et  négatif à l'école.

Parents, apprenez à protéger vos enfants de la théorie du genre

Résumé de l'éditeur :
« La théorie du genre n'existe pas », proclamait la ministre de l'Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem. Et pourtant, cela fait presque dix ans que la porte de l'école s'est ouverte à cette idéologie prônant la déconstruction des « stéréotypes sexués », qui nous seraient imposés par la culture et l'éducation... Autrement dit, on ne naîtrait pas fille ou garçon, on nous imposerait de le devenir.
Sous couvert de légitimes combats pour l'égalité des sexes et contre l'homophobie, cette entreprise de déconstruction vient toucher les plus jeunes sans que leurs parents en soient informés et puissent réagir. Et ce n'est pas fini… Programmes, manuels, livres, spectacles, éducation à la sexualité, interventions d'associations militantes, mais aussi lobbying dans les entreprises et la culture, politiques publiques, tous les moyens d'action employés par les tenants du genre sont passés au crible.
Ce livre veut être un cri d'alarme, preuves à l'appui, au sujet de cette confusion qui se répand, et qui peut faire des ravages chez les enfants et les jeunes.

Face à l'abdication des institutions, et notamment de l'institution scolaire, le livre d'Esther Pivet est un cri d'alarme et un appel poignant dirigé vers les parents d'élèves qui sont devenus le dernier rempart capable de protéger leurs progénitures d'endoctrinements dangereux, frivoles et irresponsables.

Les parents ont leur mot à dire et sont en droit d'exiger de la part des autorités scolaires des explications sur certains contenus donnés à leurs enfants.

Je vous invite à écouter Esther Pivet sur cette vidéo très instructive dans laquelle elle explique comment cette idéologie s'impose dans toutes les matières à la fois de manière très explicite mais aussi sournoise...

https://www.youtube.com/watch?v=isblW6XeSkk

J'aimerais ajouter un certain nombre de commentaires.

La plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu'il n'existe pas !

L'ex-ministre socialiste de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem qui est celle qui a ouvert en grand les portes de l'école à la théorie du genre (et à tout le jargon non-scientifique qui l'accompagne) a affirmé "La théorie du genre ça n'existe pas ! "

Les adeptes de la théorie du genre prétendent que cette théorie n'existe pas, ils préfèrent parler de GENDER STUDIES pour essayer de se donner un faux vernis scientifique....c'est vraiment prendre les gens pour des imbéciles. La théorie existe bien...et sa papesse se nomme Judith Butler.

L'article mis en lien ci-dessous est assez explicite sur ce point.

Mais revenons à l'école qui est le lieu où, théoriquement, les enfants apprennent à avoir de solides repères pour les guider dans la vie.

J'ai parlé de Belkacem mais certains syndicats de gauche ne sont pas en reste dans la dérive qui est dénoncée dans le livre de Pivet.

Voici ce que le syndicat scolaire majoritaire SNUpp-FSU affirme dans un de ses dossiers. Extrait:

"Les Genders studies nous enseignent aussi que l'hétérosexualité, loin de découler du sexe biologique ou de l'identité sexuée, n'est pas la forme " naturelle" de la sexualité, mais sa forme dominante, au sens où le système social la reproduit, la légitime, et stigmatise et infériorise celles et ceux qui s'en écartent".

Faut-il rappeller que la seule solution naturelle qui permette la reproduction de notre espèce est la solution hétéro et que, par conséquent, il peut y avoir un lien évident dans notre " câblage génétique" qui nous pousse majoritairement à être attirés par des personnes du sexe opposé?

Donc il faudrait croire d'après ce syndicat majoritaire chez les enseignants que la nature n'a ABSOLUMENT RIEN A VOIR dans le fait que les gens sont très majoritairement hétéro. Il n'y aurait rien dans notre codage génétique qui fasse que notre sexe nous prédispose à avoir une préférence ou une attirance pour le sexe opposé.

Vous y croyez, vous ?

Moi, pas une seule seconde, mais c'est pourtant ça qu'on enseigne à nos enfants.

Et quand je dis qu'on leur enseigne ça, je veux dire qu'on ne leur présente pas ça comme une théorie mais comme une vérité aussi intangible que 2 et 2 font 4.

PS: Il n'y a bien évidemment aucune homophobie dans mes propos.

Si j'affirme qu'il y a chez les humains plus de droitiers que de gauchers cela n'implique en rien une discrimination envers les gauchers. Par ailleurs si j'inventais une théorie fumeuse selon laquelle la prédominance des droitiers sur les gauchers serait due à la société ce serait ni plus ni moins qu'un mensonge scientifique, une imposture !

Si j'affirmais, comme le font les tenants de la Queer theory que les hommes sont plus grands que les femmes à cause de la société ce serait de nouveau une imposture ridicule et absurde...Pourtant c'est une thèse développée dans le DVD Pourquoi les femmes sont-elles plus petites que les hommes? qui est conseillé aux professeurs sur le site Canopé de L'Education nationale pour les SVT.

 

 

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10 août 2024 6 10 /08 /août /2024 06:27

Bonjour les amis,

Je viens de terminer la lecture d'un tract absolument magistral écrit par Eugénie Bastié et intitulé SAUVER LA DIFFERENCE DES SEXES.

Sauvons la différence des sexes !

Voici le résumé de l'éditeur:

La différence biologique des sexes est une donnée irréfutable de l’expérience humaine. Elle est pourtant aujourd’hui au cœur d’un vif débat. Pour certains en effet, prioritairement à toutes les distinctions physiologiques et à ce qu’elles engagent au plan des pratiques et des sensibilités, il y a la norme subie, la construction sociale et politique d’une identité. Et, de la même façon que nous aurions été faits femmes et hommes sous contrainte, il serait aujourd’hui loisible à chacun de se défaire de cette assignation par le seul levier de la volonté. Le corps deviendrait dès lors l’horizon d’un projet personnel, rabattant le réel biologique au rang des biens accessoires, sans incidence existentielle sur l’identité de l’individu et le devenir de la communauté humaine. Cette arrogante illusion des temps présents, qui porte le nom de déconstruction, est une menace dont il faut se prémunir. Vecteur de mal-être et de désunion, elle est un poison lent qui mine les relations entre les hommes et les femmes, en ignorant tout autant les leçons subtiles de la tradition que les acquis de la révolution des mœurs en Occident.

Ecoutons Eugénie Bastié présenter elle-même son livre dans cette interview.

Sur le podcast suivant elle développe l'intégralité de son point de vue. Ça dure 116 minutes mais ça les vaut ! Elle dénonce, entre autres, certaines impostures pseudo-scientifiques des tenants de la Théorie du genre.

Je n'ai pas grand chose à ajouter. Bastié démontre avec brio que LA THEORIE DU GENRE nous enferme dans un système de déconstruction absurde dans lequel tout le monde a à y perdre...à commencer par les vraies femmes biologiques, mais les hommes aussi. Ce qui est présenté dans cette théorie comme un enrichissement est en réalité un terrible et destructeur appauvrissement.

C'est du perdant-perdant, mais c'est aussi une théorie qui est dangereuse pour notre civilisation en ce sens qu'elle en sape les fondements basés sur la rationnalité, sur la science et sur l'acceptation de lois naturelles inviolables (le changement de sexe biologique est rigoureusement impossible tout comme le désir d'immortalité, par exemple).

PS: Il se trouve que, au moment où je parle de ce livre, il y a une forte polémique aux jeux olympiques de Paris qui concerne 2 boxeuses (l'algérienne Imane Khelif médaille d'or et la taiwanaise Lin Yu-Ting) qui seraient en réalité des hommes selon une association sportive internationale non reconnue par le CIO (pour certains observateurs cette association, l'IBA, serait corrompue et manipulée par les russes).

On sait que si des boxeuses TRANS étaient acceptées dans la catégorie féminine non seulement ce serait une concurrence COMPLÈTEMENT déloyale mais ça mettrait  en danger les boxeuses qui sont de vraies femmes biologiques

En effet les coups d'un homme sont en moyenne 160% plus puissants que ceux d'une femme et peuvent être même mortels pour les vraies femmes...

Je n'ai pas encore un avis tranché sur cette affaire des JO de Paris qui divise le CIO et l'IBA.

Il s'agit peut-être d'un autre problème, d'une forme de dérèglement hormonal ou de syndrome d'hyperandrogénie.

Mais dans tous les cas de figure le CIO devrait fixer des limites endocriniennes pour éviter de mettre en danger les boxeuses qui ne présentent pas d'anomalies hormonales.

Regardez la photo ci-dessous. La boxeuse italienne Angela Canini, devant la puissance des coups d'Imane Khélif décide d'arrêter son combat, en pleurs, et met en doute le sexe de son adversaire. Comment ne pas comprendre son désarroi. Ne m'en voulez pas et ne m'accusez pas de transphobie si je vous dis que lorsque je vois la photo ci-dessous je ne vois pas 2 femmes...et si, en plus, il y a une association internationale de boxe qui affirme qu'elle a procédé à des tests qui lui permettent de dire qu'Imane Khélif n'est pas une femme, ça fait désordre...

.

 

Sauvons la différence des sexes !

PS nº 2: Je ne sais pas si l'IBA a raison mais je sais que les fédérations sportives n'ont pas le nez propre avec la participation des TRANS. Voici ce que j'écrivais en 2023, avant la polémique actuelle.

 

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10 octobre 2023 2 10 /10 /octobre /2023 07:25

Bonjour les amis,

Ce billet d'aujourd'hui est un prolongement de celui que j'avais consacré avant-hier au livre de Samuel Fitoussi WOKE FICTION. Ceci étant dit il peut se lire indépendamment de cet article mis en lien ci-dessous. 

La meilleure manière de lutter contre une idéologie dangereuse est souvent de le faire avec humour.

Voici un extrait du livre de Fitoussi:

" En 2022, le commentateur conservateur Matt Walsh parcourt les Etats-Unis avec un micro et une caméra et pose une question simple à des centaines d'américains.

" Qu'est-ce qu'une femme ? "

A chaque fois qu'il interroge des militantes féministes, des étudiants wokes ou des professeurs d'étude de genre, la gêne est palpable.

Les pièges sont partout: définir la femme par l'anatomie serait une insulte aux individus transgenres, mais définir la femme par des caractéristiques psychologiques ou comportementales impliquerait que le genre n'est pas une construction sociale. Les militants interrogés sont incapables de fournir une réponse..."

Alors, avouez que ce passage du livre est à mourir de rire. Des militantes féministes incapables de définir de manière claire l'objet de leur lutte.

Imagine-t-on un militant communiste ayant des difficultés à définir ce qu'est le communisme?...un militant écolo bafouillant pour vous expliquer ce qu'est l'écologie?...etc...

Et oui, les amis. Les adeptes de la théorie du genre, à force de vouloir déconstruire, ne sont plus capables de donner une définition simple à une catégorie pourtant essentielle et BASIQUE de l'espèce humaine.

Il y a plein de définitions de la femme. Par exemple, celle-ci: personne dotée de chromosomes XX.

Si on s'en tient à la loi votée en Espagne en Février 2023 sera femme toute personne qui désire l'être. Du coup ça brouille singulièrement les pistes explicatives sur la nature des femmes.

Vous aurez noté que si la question avait été " Qu'est-ce qu'un homme? " on aurait buté sur les mêmes difficultés.

Par ailleurs ces mêmes chantres de la théorie du genre voudraient que leurs idées soient enseignées dès le plus jeune âge à l'école, ce qui laisse songeur puisqu'ils ne sont pas capables de donner une réponse claire à un journaliste à une question très simple. Quelle définition de la femme proposeraient-ils à de petits enfants ?

En cherchant sur le net ces interviews de Matt Walsh je me suis rendu compte qu'il en avait tiré un documentaire intitulé WHAT'S A WOMAN que j'essaierai de voir le plus tôt possible dès qu'il sera distribué.

En attendant, voici la bande-annonce.

Un dernier point sur les incohérences wokes. La théorie du genre prétend que la femme n'est qu'une construction sociale et cette idéologie a comme projet d'aboutir à une indifférentiation des sexes.

Ils veulent détruire, entre autres, les signes comportementaux et les stéréotypes psychologiques qu'on peut associer à la féminité et à la masculinité.

Dans ce cas, si le but politique final est qu'on devienne tous pareils et indifférenciés, pourquoi vouloir changer de sexe comme le désirent les trans ?

Il y a là une autre forme d'absurdité ...

PS: J'ai appris dans WOKE FICTION que l'humoriste américain Dave Chappelle avait été violemment pris à parti dans la presse et les réseaux sociaux, taxé de transphobie par la communauté LGTBIQ+ après avoir tenu les propos suivants:

 " Le genre est un fait. Chaque être humain dans cette pièce, chaque être humain sur Terre a dû passer entre les jambes d’une femme pour être sur Terre. C’est un fait " 

https://www.20minutes.fr/arts-stars/people/3144135-20211009-the-closer-dave-chappelle-cree-polemique-propos-genre-dernier-spectacle

Plus tard il a été agressé sur scène:

https://www.20minutes.fr/arts-stars/culture/3283599-20220504-humoriste-dave-chappelle-agresse-scene-plein-spectacle

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8 octobre 2023 7 08 /10 /octobre /2023 06:24

Bonjour les amis,

Je suis plongé depuis quelques jours dans la lecture absolument passionnante de WOKE FICTION, le dernier livre-enquête de Samuel Fitoussi

Voici la présentation de l'éditeur.

Pourquoi Friends, Psychose, Intouchables et Game of Thrones ne pourraient-ils plus être produits tels quels aujourd’hui ? Pourquoi les séries Netflix se ressemblent-elles toutes ? Pourquoi les films Disney ne font-ils plus rêver ?
Dans cet essai percutant, Samuel Fitoussi répond à ces questions et brosse un tableau édifiant du monde de la culture. Il montre que la pression idéologique fait tout d’abord une victime : la liberté artistique. En s’appuyant sur l’analyse de films et de séries à succès, il identifie les injonctions morales qui pèsent sur la création et transforment – le plus souvent à notre insu – notre imaginaire en champ de bataille politique.
Avec lucidité et rigueur, Woke Fiction éclaire les grands clivages idéologiques de notre époque, dévoilant les erreurs de raisonnement dans les discours militants dominants. Une lecture essentielle, à la fois érudite et vivante, pour comprendre ce qui se joue dans la fiction contemporaine et se munir d’arguments solides pour participer au débat d’idées.

Je vous conseille sur le lien ci-dessous la lecture de la critique très pertinente de Benlosam.

Lila Z a écrit ceci au sujet de ce livre sur la fiche babelio:

"Essai stimulant, qui parvient à dépasser largement son sujet pour proposer une réflexion sur la nature humaine, l'art et la morale, l'universalisme, l'égalitarisme, les stéréotypes, la logique identitaire, les effets de la fiction sur les comportements…"

Je confirme à 100% cette appréciation de Lila Z.

Fitoussi démontre que la grande majorité des films qui ont eu un grand succès durant ces 10 dernières années poserait problème aujourd'hui, mais il insiste surtout sur le phénomène de censure qui empêche la production d'oeuvres que nous ne verrons jamais.

Ce qui est frappant c'est que son livre déborde largement son sujet et qu'il confirme, PREUVES À L'APPUI, ce que je suspectais depuis longtemps, à savoir que certaines attitudes et injonctions wokistes sont anticonstitutionnelles, qu'elles enfreignent carrément la charte des droits de l'homme, et bien sûr qu'elles sont dangereusement liberticides.

La logique des quotas et de la discrimination positive crée de nombreuses injustices qui sont actuellement commises en prétendant corriger certaines inégalités qui n'en sont pas toujours.

Le chapitre consacré au féminisme démontre à quel point on se fourvoie quand, par exemple, on attribue au seul patriarcat le nombre de féminicides.

Un seul exemple: 90% des meurtres de personnes âgées sont commis par des jeunes de moins de 40 ans mais ce n'est pas pour autant qu'on parle de "vieillicide" car il n'existe pas d'idéologie qui soit complaisante avec les assassinats de personnes âgées.

Par ailleurs les hommes commettent plus de 80% des homicides mais ils sont eux-mêmes à plus de 80 % victimes de ces mêmes homicides. Les principales victimes de certains hommes sont donc d'autres hommes innocents. Donc c'est dans cette perspective qu'il faut analyser le problème spécifique du féminicide (qu'il ne s'agit pas de nier) si on veut réellement essayer de résoudre ce type de criminalité.

Enfin, et c'est insupportable, les wokistes tentent d'assimiler tous les hommes à des criminels ou à des violeurs en puissance et oublient que lorsqu'une femme est violée ou tuée cela va provoquer de grandes souffrances et douleurs chez d'autres hommes parfaitement innocents (père, enfants, frères, amis de la victime, etc...). Pour les wokistes l'homme, le mâle blanc, n'est jamais innocent. Dans le meilleur des cas, il serait complice d'un système coupable. Le wokisme incite à la haine des hommes en les rangeant, à peu près tous, et de manière caricaturale, dans la même catégorie des oppresseurs.

A noter, au passage et en aparté, que Frédéric Beigbeder explique dans son dernier roman (intitulé "Confessions d'un hétérosexuel légèrement dépassé") qu'il lui est difficilement compréhensible de se faire accuser de véhiculer les valeurs du patriarcat alors que ses parents étaient séparés et qu'il a été lui-même élevé par sa mère...pour lui, patriarcat connaît pas...

Le livre de Fitoussi nous enseigne que le rêve d'indifférentiation des sexes des wokistes est complètement infirmé par la science. La théorie du genre (théorie fumeuse s'il en est...) est complètement prise en défaut par la réalité de l'évolution darwinienne. Le sexe existe BEL ET BIEN (et n'est pas qu'une construction sociale) et conditionne un certain nombre de comportements n'en déplaise aux wokistes et Fitoussi le démontre à travers des études scientifiques qui ont été réalisées.

Le livre de Fitoussi démonte beaucoup d'idées reçues, comme par exemple, celle du supposé racisme systématique des recruteurs dans les entreprises. Des études en France ont révélé que lorsque les CV sont protégés par l'anonymat les résultats sont plus discriminatoires que lorsque le nom de candidat est bien visible. Conclusion: les recruteurs étaient plus indulgents envers certaines demandes issues de minorités quand ils voyaient le nom et l'origine du candidat.

Mais rien n'y fait pour les wokistes qu'on retrouve beaucoup chez les militants de LFI et chez les adeptes de Sandrine Rousseau. Pour eux, n'est vraiment antiraciste que celui qui considère que son pays est raciste. Le blanc mâle et hérérosexuel doit apprendre à se haïr....et le cinéma et la télé devraient lui montrer le bon chemin "rousseauiste", je veux dire par là "jean-jacques rousseauiste"...d'où l'arrivée dans les fictions de plein de personnages caricaturaux (voire risibles) qui ne correspondent pas à la réalité sociale du pays qui est souvent plus complexe et nuancée.

Je terminerai en disant qu'il y a dans le livre de Fitoussi une bonne dose d'humour, ce qui est la meilleure manière de pourfendre les absurdités et incohérences des inquisiteurs wokistes.

Je vous laisse avec une vidéo d'une entrevue de l'auteur dans laquelle il parle très bien de son ouvrage, un ouvrage très très riche, bourré d'exemples.

PS: Ah j'oubliais...Il y a de nombreuses références dans le livre de Fitoussi qui donnent envie d'aller lire d'autres auteurs comme Milan Kundera qui ont travaillé sur certains points spécifiques qu'il aborde ...

Une des grandes questions qui est posée dans WOKE FICTION est : qu'attend-on d'une oeuvre d'Art ? d'un roman? d'un film?

 

 

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