Bonjour les amis,
En cette journée nationale de fête des grands-mères je partage avec vous une chanson d'une incroyable tendresse qu'on pourrait dédier à toutes les grands-mamans qui nous ont tant aimés sans jamais rien attendre en retour...Magnifique texte et musique de Béranger qui, à travers un hommage à sa grand-mère, nous livre une chanson universelle. Cette belle chanson de François Béranger est peut-être un peu oubliée et cette fête d'aujourd'hui me donne l'occasion de la remettre à l'honneur.
Quant à moi j'ai aujourd'hui une très forte pensée pour ma grand-mère maternelle, Rosa, qu'on appelait affecteusement "la Nànna", ce qui est la manière de désigner la grand-mère en dialecte calabrais: notez que pour que la prononciation de NÀNNA soit correcte il faut mettre l'accent tonique sur le premier A et surtout pas sur le deuxième. Bref, il faut éviter une prononciation à la française qui donnerait un autre sens qui n'a rien à voir. En plus le premier A sonne comme le mot UN et non pas comme la lettre A.
Très forte pensée donc, pour ma grand-mère à moi, la "Nànna" qui m'a couvert de son amour bienveillant pendant les 34 premières années de ma vie...❤.
PS: Cette chanson de François Béranger que je partage aujourd'hui est pour moi doublement nostalgique car elle nous parle d'un passé révolu, de celui de la grande révolution industrielle et des souffrances et des sacrifices du petit peuple mais, par ailleurs, quand je l'avais entendue pour la première fois dans les années 80 j'avais l'espoir de l'avènement d'un monde meilleur, libéré des tares du grand capital. J'avais croisé Béranger à la fête de l'huma et il m'avait dédicacé l'un de ses disques. Je rêvais encore à l'arrivée d'un "socialisme à la française"...Or, ce temps-là, celui de cet espoir-là a également définitivement disparu...
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