Bonjour les amis,
En cette journée internationale du droit des femmes je tiens à préciser que lorsque j'écris "Bonjour les amis" ça inclut bien évidemment les femmes (conformément aux règles de notre grammaire) et qu'il n'est point nécessaire de faire appel à une quelconque écriture inclusive qui enlaidit notre belle langue et qui la rend lourde, laide et illisible.
Si vous lisez régulièrement mon blog vous savez que je vénère les femmes tous les jours et pas seulement le 8 Mars. Elles apportent tellement de beauté, d'équilibre et d'harmonie dans ma vie et je leur dois tant que je ne me perdrai pas mon temps aujourd'hui à répéter ce que j'écris à longueur d'année.
Non. Aujourd'hui je voudrais juste attirer votre attention sur un livre que j'ai adoré, celui d'Eugénie Bastié intitulé ADIEU MADEMOISELLE: la défaite des femmes.
Voici la présentation de l'éditeur.
Abolir la prostitution, mais autoriser la GPA. Supprimer la différence des genres, mais exiger l'égalité des fonctions. Réclamer l'abolition de la maternité, mais accepter l'imposition du voile. Se proclamer progressiste, mais enchaîner la condition féminine au Marché... Soixante-dix ans après Simone de Beauvoir, Eugénie Bastié dévoile ici, d'une plume enlevée et implacable, la misère du néoféminisme contemporain. L'égalité des droits est actée, le contrôle de la fécondité acquis, le système de la parité rendu obligatoire. Mais les nouvelles ayatollettes entendent poursuivre sans fin le combat, et lutter sans relâche pour un monde déjà advenu. Quitte, pour exister, à promouvoir les pires cauchemars d'Orwell, jusqu'à en oublier les véritables menaces qui pèsent sur le corps féminin. Des laboratoires de la Silicon Valley aux plateaux de l'Eurovision, du tapage des Femen au déni de Cologne, des colloques queer et trans aux réseaux sociaux de la délation, de l'invasion des ministères à la désertion des banlieues, cette enquête intellectuelle sans précédent montre comment, sous prétexte de militantisme, l'idéologie postmoderne travaille à la défaite des femmes. Et, plus largement, à la disparition d'une humanité partagée. Un livre décisif.
Voici ce que dit Fklevesque sur la fiche babelio du livre:
"Un ouvrage très bien écrit et qui sort des sentiers battus dans la mesure où il repose sur une analyse objective sans se soucier de la bienpensance du XXIème siècle. Eugénie Bastié étudie la condition féminine et la place du "féminin" à travers les époques et dans ses multiples dimensions (évolution de la langue, introduction du primat du genre, négation des corps, maternité, avortement, GPA, etc...).
Elle y présente le combat féministe et le courant néoféministe qui l'a balayé pour aboutir à un constat: "La révolution féministe n'a pas abouti à un monde plus féminin, mais à un monde plus uniforme. Un monde où les différences sont soit avilies par la double marchandisation de la publicité et de la pornographie, soit effacées par le double puritanisme du genre et de l'islamisme. L'homme, lui aussi, est victime de ce processus infernal. Non la société ne se féminise pas. Non la société ne se masculinise pas. La société s'appauvrit de la différence des sexe".
Ce livre est une véritable bouffée d'air pur qui, dans notre société en décomposition,met en valeur la nécessaire reconnaissance de la complémentarité hommes-femmes et cela sur un fondement profondément humain et "naturel". Considérant que "si la féminité et la masculinité sont des caractéristiques de la personne, au même titre que l'origine sociale, l'appartenance familiale qui ne saurait pour autant la définir. Car l'homme et la femme sont libres. Et c'est dans leur différence que s'exprime cette liberté. A nous de préserver cet équilibre de la chair, contre les vents contraires du relativisme".
Cet ouvrage m'a mis beaucoup de baume au coeur dans sa présentation de la femme, être libre qui dispose d'un merveilleux privilège que l'homme n'aura jamais: celui de répéter la Vie sur des bases biologiques. Femme qui, dès lors, mérite le plus grand respect de la part de l'homme.
Ce livre ne se lit pas, il se dévore avec avidité."
Juste ajouter à cet avis de lecteur que ce livre qui TIRE À BOULETS ROUGES sur les néoféministes très hargneuses et assez incohérentes m'a fait à moi aussi un bien fou: une vraie bouffée d'air pur dans notre univers woke et beurk.
Je vous laisse avec un article du Figaro consacré à ce livre et je vous souhaite une bonne fête, les amies...
VIVE LES FEMMES...❤
Adieu mademoiselle : on n'abdique pas l'honneur d'être une femme
FIGAROVOX/ESSAIS - Il fallait disserter sur la société pleine d'idées féministes devenues folles. Pari réussi selon Théophane Le Méné, qui a lu Adieu mademoiselle d'Eugénie Bastié.
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